La réponse est OUI ! Même chez les personnes qui ont des habitudes de vie malsaines, l’activité physique est associée à des niveaux de fragilité plus faibles, surtout pour les adultes plus âgés où l’association était plus forte. Myles O’Brien est chercheur au Laboratoire IMPACTS du Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick👉https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0167494324002322?via%3Dihub
Un mode de vie actif peut-il compenser les effets de la relation entre les mauvaises habitudes de vie et la fragilité ?
